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17/10/2007

A NICE, LE SORTILEGE DU VALLON OBSCUR

Au Nord de l’agglomération niçoise, à l’extrémité du quartier Saint Sylvestre, s’ouvre une gorge profonde et étroite qui passe à juste titre pour une remarquable curiosité naturelle.

Lorsqu’on parcourt ce site à pied sec, il n’y coule qu’un mince filet d’eau, le jour ne s’entrevoit qu’au sommet resserré des parois. Ces murailles géantes sont tapissées de lichens et de capillaires diaphanes, adaptés à l’humidité ambiante et à l’absence de lumière.

Ce lieu solitaire et sauvage, d’une mystérieuse beauté est connu sous le nom de « Vallon obscur ».

Après avoir subi les invasions barbares, les Alpes-Maritimes s’étaient placées sous la domination franque, espérant enfin pouvoir connaître une ère de paix et de prospérité. Mais d’autres redoutables ennemis vinrent troubler leur quiétude. Battus par Charles Martel, les Maures se replient en Provence et brûlent Cimiez et Lérins en 734.

Les raids sarrasins se poursuivent sur la Provence et Nice en 813. La période la plus terrible se situera entre 884 et 972 où les Infidèles s’installent à Saint Jean Cap Ferrat (le Petit-Fraxinet) et Eze. De là, ils ravageront toute la région : Nice, Cimiez, La Turbie, Vence. C’est au début de cette période trouble en 777 que se situe la visite de l’Empereur Charlemagne à Nice.

Venant de Rome où l’avait appelé le Pape Adrien, menacé par les Lombards, l’Empereur se rendait en Espagne pour y accomplir sa campagne mémorable qui s’achèvera par le désastre de Roncevaux et la mort de Roland. Cette entreprise visait à purger la Provence et les contrées ibériques de la présence et du joug pesant des Sarrasins. Menée comme une véritable guerre sainte, elle s’appuyait à Nice sur un brillant capitaine Guido Guerra de Vintimille et son fils Odon.

A l’occasion de son passage, Charlemagne logeait à l’abbaye de Saint Pons, alors que l’armée franque campait à l’extérieur des murs de la ville.

Un soir, Guido Guerra invita sous sa tente les douze pairs et les nobles niçois à un festin d’apparat. A cette occasion, une troupe de saltimbanques, prétendant venir de Sicile, sollicita l’honneur de se produire devant les convives. Le Comte de Vintimille y consentit volontiers pour divertir ses hôtes.

Les jongleurs, équilibristes et musiciens rivalisèrent de prouesses, jusqu’à ce qu’un étrange troubadour entreprit de bercer les convives en chantant une douce mélopée rythmée par un curieux instrument à cordes.

Les paroles en langue d’oc évoquaient avec mélancolie les malheurs d’une infortunée princesse, victime d’un affreux génie, qui l’avait attachée avec ses propres cheveux dans une caverne profonde dont nul ne connaissait la place. Pour la libérer, il fallut qu’un courageux chevalier se munisse d’un puissant talisman pour parvenir jusqu’à sa prison.

Toute l’assistance se laissait captiver par ce récit lorsque soudain des bruits confus entremêlés de clameurs retentirent. Les Sarrasins attaquaient le camp. Entraînés par le fougueux Roland, les chevaliers se précipitèrent, lançant leur célèbre cri de guerre : « Montjoie et Charlemagne ! ».

Alors qu’il quittait la tente, Roland vit une ombre se dresser face à lui et reçut un violent coup d’estoc. Le coup homicide s’amortit sans dommage sur sa côte de mailles, le preux chevalier eut juste le temps de reconnaître le chanteur sicilien, avant de le voir s’écrouler, le crâne fendu par la francisque d’Olivier.

En effet, la troupe d’artistes siciliens n’était qu’une escouade de sarrasins déguisés qui, par cette ruse, avait réussi à investir le camp. La riposte vigoureuse des Francs écarta le péril ; très vite, les ennemis s’enfuirent en débandade, abandonnant sur place morts et blessés.

Acharné dans la poursuite des fuyards, Roland se retrouva bientôt isolé dans la nuit, à l’écart de la troupe. Las, perdu dans la campagne, il replaça sa chère Durandal dans son fourreau, s’allongea sur l’herbe et portant son regard vers la voûte étoilée, il décida de s’endormir jusqu’au lever du jour.

Il venait juste d’abaisser ses paupières, qu’une voix douce troubla le silence de la nuit. Prêtant l’oreille, il reconnut distinctement en écho le refrain de la chanson interprétée par le perfide troubadour :

« Dedans sa prison souterraine

Iseult la belle se morfond,

Bon chevalier finit sa peine,

Amour et gloire en sortiront. »

La litanie, inlassablement reprise, résonnait dans la tête du malheureux Roland, tout autre que lui se serait effrayé d’être l’objet d’un pareil sortilège. Se préparant à affronter quelque diable malicieux, le preux chevalier saisit sa merveilleuse épée qu’il fit tournoyer dans les airs au-dessus de sa tête. L’arme étincelante dessina une large auréole lumineuse, lui permettant de découvrir et reconnaître la contrée.

Une colline, détachée d’une montagne plus importante, masquait l’horizon, la voix parvenait du côté opposé, dominé par cette proéminence.

Roland s’avança dans sa direction, grimpa au sommet pour parcourir l’autre versant, il s’aperçut alors que l’étrange voix lui parvenait du lieu qu’il avait quitté !

Il retourna ainsi plusieurs fois sur ses pas, exaspéré par l’implacable voix, répétant sans répit son agaçant refrain comme une ironique et provocante bravade.

Pris enfin d’une rage impuissante, Roland se saisit à deux mains de sa lourde épée pour en asséner un coup magistral du tranchant sur le bord de la colline.

Un terrible et fulgurant éclair s’ensuivit, la terre trembla dans ses profondeurs, alors qu’un craquement ébranla le sol et qu’une fracture s’ouvrit, laissant échapper des entrailles de la terre un puissant cri de délivrance.

Une profonde galerie, éclairée par une inexplicable lueur phosphorescente, s’offrait à la curiosité du preux chevalier qui s’y engagea hardiment.

Avançant dans cet antre où régnait une odeur putride, il piétina d’horribles créatures croupissant infectes dans leur bave, il heurta d’effrayants volatiles affolés, battant l’air de leurs ailes glacées, croisa des reptiles repoussants accrochés aux parois, toute une faune agressive, emmêlées dans cet infernal vestibule, sifflant et soufflant leur haine gueule ouverte, sans réussir à amoindrir son courage.

Puis, sans raison, comme par enchantement, la faible lueur s’éteignit, plongeant ce corridor de l’horreur dans la nuit totale. Simultanément, les flancs de la montagne se resserrèrent sur Roland, assailli de plus par une grêle de pierres. S’estimant à nouveau victime d’une ruse des Sarrasins, il hurla : « Ah ! Sorciers maudits, que ne sommes nous face à face ! Vous n’auriez pas si facilement raison de moi ! ».

Il s’agenouilla, serrant tout contre lui sa chère Durandal et attendit résigné que vienne la mort. Mais l’affreux piège l’épargna, les parois s’immobilisèrent, comme stoppées par quelque miracle. Roland s’était abandonné au sommeil, il ne fut réveillé que le lendemain par le son du cor d’Olivier parti à sa recherche.

Extrait du fond de l’abîme, il raconta son étrange équipée à son compagnon d’arme et voulut lui faire visiter le fantastique défilé. Mais Roland et son inséparable épée, véritable talisman, avaient brisé le sortilège. A sa grande surprise, là où il n’ avait vu que reptiles hideux et monstres repoussants, ils n’aperçurent plus que des touffes légères et gracieuses de cette plante délicate, baptisée capillaire par les botanistes et cheveux de Vénus par les poètes. L’infortunée princesse s’était dissipée ne laissant là que ces seuls indices.

 

D’après « Les Légendes et Chroniques insolites des Alpes Maritimes » (Equinoxe-éditions Saint Rémy de Provence), pour commander cet ouvrage dédicacé de 23 € : téléphoner au 04 93 24 86 55.

Pour en savoir plus sur un village typique chargé d’anecdotes et d’images du passé : Cliquez sur

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« Bibliothèque pour Tous », les « Bigaradiers »

Avenue Fanhestock, Saint Laurent du Var, Téléphone 04 93 07  33 31 Samedi 20 octobre 2007 à 10h « SAINT LAURENT DU VAR A TRAVERS L’HISTOIRE » Conférence par EDMOND ROSSI Dédicaces de ses livres entrée libre

08:30 Publié dans HISTOIRE | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : HISTOIRE

10/10/2007

NICE A L'EPOQUE DES TEMPLIERS

Robert Latouche écrit avec justesse que  «le destin de Nice s’est joué au XII ème siècle », précisément à l’époque où les Templiers apparaissent dans cette ville.

Pour mieux situer les deux siècles de cadre historique, dans lesquels va se dérouler la présence de l’Ordre à Nice, ainsi que sur les terres comtales situées au-delà du Var, il nous paraît utile de rappeler quelques dates essentielles.

Ces dernières sont en rapport étroit, avec l’affirmation constante, d’une volonté d’indépendance manifestée par Nice. Cette démarche identitaire sera souvent habilement exploitée par la République de Gênes, rivale déterminée du comté de Provence, sur ses limites orientales.

- 1091 (Juin). Gênes obtient du Comte de Toulouse, une exemption totale d’impôts pour les Ligures trafiquant en Pays Niçois. Contestant cette forme de protectorat économique les Niçois réagissent en s’alliant aux Pisans, adversaires irréductibles des Génois, dans la mainmise sur la Corse.

- 1125 (Septembre). Raymond-Bérenger 1er nouveau Comte de Provence de la Maison de Barcelone, situe Nice comme «cap de Provenza », il s’appuie sur le clergé pour mater les laïcs turbulents et indisciplinés. Le Comte guerroie en Espagne contre les Maures et conquiert l’île de Majorque. Simultanément les Génois s’imposent à San Remo et Vintimille, s’ils acceptent de reconnaître Nice comme port provençal, ils refusent cette domination pour Monaco.

- 1130 (4 juillet), le Comte de Provence Raimond-Bérenger 1er est reçu dans l’Ordre du Temple,  comme membre associé, au château de Granera, près de Barcelone.

- 1135. Les Templiers sont  mentionnés à Nice où ils fondent un hospice.

- 1143. Le régime consulaire est établi à Nice, six consuls sont cités en 1146, ils ne seront que quatre ensuite, de 1147 à 1775.

- 1166. La famille consulaire des Riquier fait basculer Nice dans le camp des Génois et la ville refuse de recevoir une ambassade envoyée par son suzerain le Comte de Provence.

A la tête d’une expédition formée pour réduire la révolte niçoise, le Comte de Provence Raimond-Bérenger III meurt à moins de trente ans, dans la plaine côtière du Loup.

- 1167 (mai). Le nouveau Comte de Provence Alphonse 1er signe un accord avec les Génois pour garantir à ses marchands l’exemption des droits de péage de Tortosa à Nice, tout en fermant les ports aux Pisans.

- 1170. Nice subit une sorte de protectorat génois, puisque réglant à cette cité les droits d’ost et de chevauchée.

- 1176. Alphonse 1er marche sur Nice, qu’il reprend, en compagnie de ses frères Raimond-Bérenger et Sanche.

Un traité de paix est signé entre le Comte et les Niçois, non loin du Var, au quartier des Sagnes. La ville y acquiert une totale autonomie, son consulat est confirmé en échange de 25000 sols génois, plus une redevance annuelle d’albergue de 2000 sols et l’obligation de tenir disponible et armés 150 sergents.

- 1188. Alphonse 1er se rend pour la seconde fois à Nice où il confirme les privilèges de 1176.

- 1192. Gênes poursuit sa pénétration sur les marches de la Provence, en arrachant au comté de Vintimille Castillon, Codolis et Menour au nord de Sospel.

- 1210. Au lieu-dit Arisano (L’Ariane), Sanche, Comte de Provence, confirme aux consuls niçois les privilèges de 1176.

- 1211. Après une guerre de course contre les Génois, les Niçois procèdent à une volte-face politique qui aboutit à ce que Nice se mette de nouveau sous la protection de Gênes.

- 1215. Construction du château de Monaco par les Génois ;

- 1215-1218. Lutte des Provençaux contre Gênes et révolte à Nice.

- 1229 (9 novembre). Après avoir soumis Nice, Raimond-Bérenger V octroie des privilèges exceptionnels à cette turbulente cité, qu’il place sous l’autorité de son plus fidèle lieutenant, Romée de Villeneuve, avec le titre de viguier comtal, écartant ainsi toute influence génoise.

- 1230 (février). A Nice un complot favorable aux Génois, impliquant deux consuls, est déjoué in-extremis.

 - 1235 à 1241. Expédition comtale de reconquête du Haut-Pays, conduite militairement par Romée de Villeneuve.

- 1241. La Provence et Gênes signent un accord contre Frédéric II Empereur d’Allemagne, si le Comte renonce à Monaco et Vintimille, les Génois admettent que leur frontière s’arrête à l’est de La Turbie.

- 1246 (23 février). Nouvellement Comte de Provence, Charles 1er d’Anjou vient à Nice confirmer les franchises de la commune.

- 1249-1252. Construction de l’arsenal de Nice.

- 1258 (février) Extension du comté vers l’Italie, la famille de Vintimille cède à la Provence les «castra »  de Saint Agnès, Gorbio, Castellar, Castillon, La Brigue, Tende, Roquebrune, Monaco, San Remo. Viendront s’ajouter ensuite, Sospel, Breil, Pigna. Le Val de Lantosque est réuni au comté de Vintimille pour former une seule viguerie provençale.

- 1259. Charles 1er d’Anjou ajoute à ses conquêtes orientales le Piémont : Coni, La Vallée de la Stura, Savigliano, Mondovi.

- 1262 (juillet). Le Comte de Provence abandonne Monaco à Gênes ;

- 1273-1276. Guerre contre Gênes, conduite par Charles 1er d’Anjou sur les marches orientales de la Provence.

- 1289 (avril). Charles II succède à son père, il se rend à Nice où il promulgue quatre statuts protégeant les paysans et les roturiers.

- 1294 (8 février). Nouvelle visite du Comte dans la cité niçoise où il promulgue une ordonnance moralisatrice obligeant à la messe dominicale, à l’observance du jeûne, à l’interdiction du concubinage, du blasphème et du parjure !

- 1295 (8 août). Création du port franc de Villefranche.

- 1297 (janvier). François Grimaldi dit «Malizia » s’empare de Monaco.

- 1306 (juin). Charles II interdit aux Juifs l’exercice de la médecine, prescrit l’isolement  des boucheries israélites et le port du signe distinctif dit de la «rouelle ». Ces mesures discriminatoires sont rapportées quelques semaines plus tard et les Juifs de Provence bénéficient de nouveaux privilèges.

- 1308 (24 janvier). Arrestation des Templiers dont les biens seront livrés aux Hospitaliers.

- 1309 (5 mai). Mort de Charles II à Naples.

 D’après «Les Templiers en Pays d’Azur » (Alandis-éditions Cannes), pour commander cet ouvrage illustré et dédicacé de 18 € : téléphoner au 04 93 24 86 55

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26/09/2007

LE CHATEAU MEDIEVAL DE LA BRIGUE

La Brigue, cité au XIe siècle devint une petite cité médiévale au XIVème siècle et le centre d'un vaste territoire alpin au riche passé, indissociable de celui de sa voisine de Tende.

Le château des Lascaris, est érigé en 1378 par le Comte Ludovic Lascaris, seigneur de La Brigue qui en fut le premier occupant. Classé Monument Historique, il présente un donjon rond et des restes de logis. Sa construction serait antérieure à cette occupation et il n'aurait été agrandi aux XIVème siècle par son propriétaire pour être à la mesure des ambitions du premier Comte de La Brigue. Ce château de pur style médiéval et donc défensif, sera détruit par le tremblement de terre niçois de 1564. La bâtisse retrouvera ses heures de gloire en devenant château "à vivre" en 1625, grâce à une héritière épouse du Comte de La Brigue qui entreprit sa rénovation. 1 ) Les miraculeuses sources de Notre Dame des Fontaines ont donné lieu à une légende médiévale chargée de merveilleux. Au XIIIème siècle, les sources  s’étant taries à la suite d’un tremblement de terre. La jeune Comtesse Eudoxie de Tende annonça qu’elles couleraient à nouveau si la population de La Brigue construisait une chapelle dédiée à la Madone. Si les sept sources reprirent leur débit au  voisinage du sanctuaire, elles ne coulaient que par intermittence. Ce phénomène troubla encore davantage ceux qui croyaient au caractère surnaturel de cette renaissance. En fait, le miracle relevait des lois de la physique, par le siphonnage épisodique d'une poche rocheuse. 2 )  Ludovic Lascaris seigneur de La Brigue connut les tumultes d'une vie romanesque. Enfermé dans sa jeunesse par son père dans un couvent, il s'en évade pour enlever la jeune et jolie Tiburge, fille d'Astruge marquise de Beuil, rencontrée au hasard d'une visite du château de Tende. Malgré  l'indignation de la société, la Reine Jeanne, reconnaissant la valeur de son épée, le recueille ainsi que Tiburge et leurs enfants. Au service de la Reine Jeanne, il se distingue par sa bravoure et son habileté militaire, mais aussi par son talent de troubadour dans les cours d’amour. Il fait également craindre le blason des Lascaris dans les joutes et tournois. Grâce à la Reine Jeanne, le Pape émit une bulle accordant à Ludovic un délai de 25 ans avant de regagner le couvent mais il mourut à La Brigue avant le terme accordé.  

 D’après « Les Châteaux du Moyen-âge en Pays d’Azur » (Alandis-éditions Cannes), pour commander cet ouvrage illustré et dédicacé de 20 € : téléphoner au 04 93 24 86 55

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UN BLOG VIVANT ET INTERACTIF !

Régulièrement mis à jour avec des notes, fruits de patientes recherches, ce blog reflète le passé méconnu, les traditions, la mémoire et la richesse de l’Histoire des Alpes Maritimes. S’il vous intéresse ne manquez pas de l’inscrire dans vos « Favoris » et de le faire connaître autour de vous. http://pays-d-azur.hautetfort.com est votre blog, interrogez la rédaction en adressant vos mails à edmondrossi@wanadoo.fr Votre question recevra chaque fois une réponse. A bientôt !  

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